Des spécialistes reconnus dans leurs domaines....
Pauline d'Abrigeon est doctorante à l’École Pratique des Hautes Études, et chargée d’études et de recherche à l’Institut National d’Histoire de l’Art. Elle s’est formée à l’École du Louvre, à l’Institut National des Langues et Civilisations Etrangères, avant d’entreprendre un long séjour d’étude à l’Université Nationale de Taiwan. À cette occasion, elle a notamment organisé une exposition sur les bleu et blanc d’époque Ming et Qing. Ses recherches portent sur les collections de céramiques chinoises en France, et la commercialisation des céramiques chinoises au XIXe siècle. Collections et collectionneurs |
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Alain Arrault est actuellement directeur d’études à l’Ecole française d’Extrême-Orient et enseigne au Centre d’études sur la Chine moderne et contemporaine (EHESS) . Ses principaux champs d’investigation dans le domaine des études chinoises furent dans un premier temps l’histoire intellectuelle de la Chine prémoderne et dans un second temps l’histoire des calendriers annuels chinois du IIIe s. AEC au Xe s. EC. Depuis 2002, il est engagé dans les études sur la « religion commune », en particulier sur les pratiques religieuses dans la province du Hunan, vues au travers de la statuaire domestique du XVIe s. au XXe s. et d’enquêtes de terrain. |
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Sylvie Aubenas, archiviste paléographe (ENC promotion 1988), diplômée de l’université de Paris Sorbonne (Paris IV), de l’EPHE, est conservateur général à la BnF où elle dirige depuis 2007 le département des Estampes et de la photographie. |
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Marianne Bastid-Bruguière, membre du conseil scientifique de l’École des chartes, a été élue à l’Académie des sciences morales et politiques en 2001. Historienne, ancienne élève de l’École normale supérieure de jeunes filles et de l’École des langues orientales, elle est directeur de recherche émérite au Cnrs, où elle a fait toute sa carrière, en enseignant à Paris 7, à l’Éhéss et dans de nombreuses universités étrangères. Elle a été présidente de l’Association européenne d’études chinoises. |
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Michela Bussotti est enseignant-chercheur de l’Ecole française d’Extrême-Orient, membre de l’UMR CCJ (EHESS-CNRS). Ses travaux et publications portent sur l’histoire du livre et de l’édition en Chine, sur les techniques d’imprimerie et plus en général sur l’histoire culturelle chinoise de la période impériale tardive. |
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Lucia Candelise est Maître Assistante à l’Université de Genève. Elle est rattachée au laboratoire SPHERE, UMR 7219, CNRS/Paris 7, membre (chercheuse libre) à l’Institut des Humanités en médecine (IUHMSP-CHUV) de Lausanne, associée au laboratoire CECMC, UMR 8173, Chine, Corée, Japon (EHESS/CNRS) et au laboratoire CETCOPRA Paris 1 la Sorbonne. Elle mène depuis plusieurs années des recherches sur la diffusion, la réception et les tentatives d’intégration de la médecine chinoise en différents pays d’Europe et Afrique en combinant une approche historique à l’enquête de terrain. La médecine chinoise en Chine et en France |
Thomas Cazentre, ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé de lettres modernes, docteur ès lettres et conservateur des bibliothèques, a été chargé des collections de photographie du XIXe siècle au département des Estampes et de la photographie de la BnF de 2008 à 2017. Il est l’auteur de plusieurs articles ou contributions à des ouvrages collectifs sur la photographie de voyage et d’architecture au XIXe siècle. Depuis 2017, il est chargé de collections modernes et contemporaines au département des Manuscrits. Firmin Laribe |
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Claire Chemel, diplômée de l'université Paris-Sorbonne (Paris I) et de l'EPHE, est archiviste-paléographe et conservateur des bibliothèques. Elle a été responsable de la numérisation au département des Cartes et plans de la BnF de 2012 à 2017, chargée de l'éditorialisation et de la médiation des collections cartographiques et géographiques numérisées. Depuis 2013, elle est également community manager de Gallica, bibliothèque numérique de la BnF. Elle est actuellement coordinateur scientifique au sein du service Coopération numérique et Gallica de la BnF. Cartes marines |
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Karine Chemla s’est tournée vers l’histoire des mathématiques et la sinologie après des études de mathématiques à l’ENSJF. Chercheure au CNRS depuis 1982 (UMR SPHERE, CNRS-Université Paris Diderot, Sorbonne Paris Cité), elle travaille sur la diversité des pratiques et des cultures mathématiques, en particulier en Chine ancienne, et sur la circulation des savoirs. Elle a animé, avec Agathe Keller et Christine Proust, le projet d’études avancées financé par l’European Research Council « Sciences mathématiques du monde ancien » (SAW). K. Chemla est l’auteur, avec Guo Shuchun, de l’ouvrage Les Neuf Chapitres, Dunod 2004. Elle a coordonné The History of mathematical proof in the ancient traditions, Cambridge University Press, 2012 ; avec J. Virbel, Texts, Textual Acts and the History of science, Springer, 2015 ; avec Renaud Chorlay et David Rabouin, The Oxford Handbook of Generality in Mathematics and the Sciences, Oxford University Press, 2016 ; et, avec E. Fox Keller, Cultures without culturalism in the making of scientific knowledge, Duke University Press, 2017. |
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Yvan Daniel, docteur en littérature comparée de l’Université Paris-Sorbonne (Paris IV), agrégé de lettres modernes, est professeur de littérature générale et comparée à l’Université de La Rochelle. Actuel vice-président de la SFLGC. Ses recherches portent sur l’histoire des relations culturelles et littéraires entre la Chine et la France. Il est membre du conseil scientifique du site. |
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Muriel Détrie est maître de conférences en littérature générale et comparée à l’université de la Sorbonne Nouvelle et spécialiste des relations littéraires entre l’Occident et l’Extrême-Orient. Ses travaux portent sur les récits de voyage en Chine (Le Voyage en Chine : anthologie des voyageurs occidentaux du Moyen-âge à la chute de l’empire chinois, en collaboration avec N. Boothroyd, Laffont, coll. Bouquins, 1991), la réception des littératures asiatiques en France (France-Asie : un siècle d’échanges littéraires, You Feng, 2001) et les relations culturelles franco-chinoises (France-Chine : quand deux mondes se rencontrent, Gallimard, coll. Découvertes, 2004). |
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Vera Dorofeeva-Lichtmann étudie les conceptions chinoises anciennes et leur influence profonde sur la cartographie chinoise sur le long terme. Elle a soutenu en 1992 une thèse de doctorat à l’Institut des Etudes Asiatiques et Africaines (Université d’Etat de Moscou). Elle a reçu plusieurs bourses post-doctorales, y compris des bourses Humboldt, ainsi que des "Visiting Fellowships". Depuis 2000, elle est chargée de Recherche CNRS (actuellement à l’UMR 1873 Chine-Corée-Japon, CNRS-EHESS). Cartes de Chine |
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Jean-Pierre Drège, ancien directeur de l’École française d’Extrême-Orient, est directeur d’études émérite à l’École pratique des hautes études. Spécialiste de l’histoire du livre et de l’écrit en Chine, il s’intéresse depuis une dizaine d’années à la littérature de voyage. Il a publié récemment Le papier dans la Chine impériale : origine, fabrication, usages (Paris, Les Belles-Lettres, 2017) et traduit le Mémoire sur les pays bouddhiques de Faxian (Paris, Les Belles Lettres, 2013). |
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Grégoire Eldin, archiviste paléographe, est conservateur aux Archives du ministère des Affaires étrangères (La Courneuve). |
Vincent Goossaert est historien, directeur d’études à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (Histoire du taoïsme et des religions chinoises), et directeur de l’Ecole doctorale de l’EPHE (2014-2018). Il est depuis 2016 co-éditeur de T’oung-Pao, la plus ancienne revue scientifique de sinologie en Occident. Il est membre du conseil scientifique du site. Ses trois derniers ouvrages en français sont (avec David Palmer) La question religieuse en Chine, (Paris, CNRS éditions, 2012) ; Livres de morale révélés par les dieux (Paris, Belles-Lettres, 2012), Bureaucratie et salut. Devenir un dieu en Chine (Genève, Labor & Fides, 2017). Bouddhisme - Confucianisme - Taoïsme |
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Maïlys Jean travaille sous la direction de Madame Guichard, sur le vaisseau français l’Amphitrite et plus précisément sur les objets embarqués qui étaient destinés à la cour de l’empereur et au commerce. La culture matérielle, l’histoire diplomatique et commerciale entre la France et la Chine sont les trois thématiques principales de son travail de recherche. Elle a intégré le master d’histoire transnationale de l’École Normale Supérieure et de l’École Nationale des Chartes après trois années de classe préparatoire littéraire au lycée Michel Montaigne et une admissibilité à l’École Nationale des Chartes. L'Amphitrite |
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Pierre Kaser est professeur à la section de chinois du Département d'Études asiatiques de l'Université Aix-Marseille où il enseigne la littérature chinoise ancienne et la traduction depuis plus de vingt ans, il dirige l'axe « Littératures d'Asie et traduction » de l'Institut de recherches asiatiques, IrAsia - UMR 7306. Il est également rédacteur en chef de la revue en ligne Impressions d'Extrême-Orient, il a traduit des contes et des romans en langue vulgaire des XVIIe et XVIIIe siècles, ainsi que des textes en langue classique de la période impériale. |
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Isabelle Landry-Deron (Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales) est spécialiste des missionnaires en Chine, spécialement de la mission française. Elle est membre du conseil scientifique du site. Elle est notamment auteur de La Preuve par la Chine, Paris: EHESS, 2002. Envoyés pontificaux et royaux du Moyen-âge - Missionnaires |
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Romain Lefebvre, est docteur en études chinoises (Université d’Artois), chargé de projet chinois au labex TransferS de l’École normale supérieure et chargé de cours de civilisation chinoise au département des langues étrangères de l’université d’Artois. Il a été chercheur associé puis invité en 2013-2015 au département des manuscrits orientaux de la BnF pour travailler sur les fragments tangoutes du fonds Pelliot Xixia grotte 181. Il a également été chef du projet du re-catalogage des notices du fonds Maurice Courant de 2015 à 2017. Ses travaux et recherches portent sur l’étude philologique des fragments tangoutes, issus de textes bouddhiques et séculiers. |
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Chuan-hui Mau est maître de conférences à l'Institut d'Histoire de la National Tsing Hua University (Hsinchu, ROC) et membre associée étranger au laboratoire Identités, Cultures, Territoires (I.C.T.) à Paris-Diderot. Ses recherches se concentrent sur l’histoire des échanges franco-chinois et concernent plus particulièrement l'industrie de la soie et des soieries. |
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Georges Métailié (Dr, HDR) est directeur de recherche honoraire (CNRS), Centre Alexandre Koyré, Paris. Son travail se poursuit dans le champ de l'ethnobotanique sur l'histoire des savoirs naturalistes en Chine et au Japon. Ceci implique des recherches dans des textes traitant de l'horticulture et des jardins, de l'agriculture et de la pharmacopée essentiellement. |
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Thierry Meynard S.J., est docteur en philosophie chinoise (Université de Pékin), professeur de philosophie à l’Université Sun Yat-sen, vice-directeur de l’Institut Ricci de Macao, directeur de recherche au Beijing Center for Chinese Studies. |
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Frédéric Obringer est chercheur au CNRS, directeur du laboratoire Chine, Corée, Japon (CNRS/EHESS/UPD). Il travaille sur l'histoire de la médecine chinoise et de diverses substances (poisons, médicaments, encens) et prépare actuellement un livre sur l'histoire des parfums en Chine impériale. La médecine chinoise en Chine et en France |
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François Picard est ethnomusicologue, professeur à Sorbonne Université et chercheur à l’IReMus, président de la Société française d’ethnomusicologie. Il joue de la flûte xiao et de l'orgue à bouche sheng dans l’ensemble XVIII-21, le baroque nomade. Il est membre du conseil scientifique du site. Il a publié La Musique chinoise (1991, rééd. You-feng, 2003), le Lexique des musiques d’Asie orientale (You-feng, 2006) et L’Incantation du patriarche Pu’an 普庵祖師神咒 Les avatars du syllabaire sanskrit dans la musique chinoise (Peeters, 2012) et une trentaine de CD. Musique |
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Philippe Postel est maître de conférences HDR en littératures comparées à l’Université de Nantes. Ses domaines de recherches sont : 1. Victor Segalen (Victor Segalen et la statuaire chinoise, Champion, 2001 ; édition critique de la Correspondance, Fayard, 2004 ; édition critique de Chine. La grande statuaire, Champion, 2011 ; il dirige la publication des œuvres complètes chez Champion) ; 2. la mythocritique asiatique (Les Vaillants d’Akô, Le mythe des Quarante-sept rōnins au Japon et en Occident, Classiques Garnier, à paraître) ; 3. les études de traduction littéraire et 4. le roman classique en Europe et en Chine. Victor Segalen, romancier et poète |
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Li Weiwen est doctorant en archéologie de l’Extrême-Orient à l’Université Paris IV, diplômé d’un master en archéologie à l’Université Paris IV et d’un master en littérature comparée à l’ENS de Lyon. Ses recherches portent surtout sur l’histoire de l’architecture chinoise, sur l’évolution de la ville de Pékin et les aménagements urbains de cette ville de l’antiquité au présent. |