De nombreux spécialistes ont participé à l'élaboration de ce site.
Jérôme Petit est conservateur chargé des collections d’Asie du Sud et du Sud-Est au département des Manuscrits de la Bibliothèque nationale de France. Il assure à ce titre la responsabilité scientifique du projet Patrimoines Partagés: France-Asie du Sud. Membre du Groupe de recherche en études indiennes (GREI), il est directeur d’études cumulant à l’École pratique des hautes études (EPHE), section des sciences historiques et philologiques, chaire de Langues et cultures manuscrites dans le monde indien.
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Nalini Balbir, agrégée de grammaire, docteur d’Etat en études indiennes, est professeur d’indologie à l’Université Paris-3 Sorbonne-Nouvelle et directrice d’études (Philologie moyen-indienne) à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, Section des sciences historiques et philologiques. Ses recherches portent sur le jaïnisme dans son histoire, ses développements et son présent, et sur le bouddhisme de langue palie. Elle est actuellement membre de l’Equipe d’Accueil EA 2120, « Groupe de Recherches en Etudes Indiennes » (GREI) sur le site de laquelle on trouvera la liste de ses travaux.
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Samuel Berthet est historien et chercheur. Il a été directeur de l'Alliance française d'Hyderabad, en Inde, et est actuellement doyen de l'American Business School of Paris. Spécialiste de l’Inde contemporaine, ses recherches portent sur les relations culturelles indo-françaises et sur l'histoire maritime entre l'Asie du Sud et de l'Europe.
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Fabien Chartier est enseignant à l'Université de Rennes. Il a obtenu son doctorat en 2004 en soutenant une thèse consacrée à "La Réception de Rabindranath Tagore en Grande-Bretagne et en France". Après avoir enseigné le français à University of Delhi, Saint Stephen's College et University of Liverpool, il s'est tourné vers l'enseignement de l'anglais. Il a édité plusieurs ouvrage sur l'Inde, notamment le Quarto-Gallimard consacré à Tagore publié en 2020. En Inde et en France, il donne régulièrement des conférences sur Tagore.
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Anne-Julie Etter, ancienne élève de l’École normale supérieure (Ulm) et agrégée d’histoire, est maîtresse de conférences en histoire à CY Cergy Paris Université. Ses recherches portent sur l’étude, la conservation et la transmission des biens culturels en Asie du Sud, à la croisée de l’histoire coloniale, de l’histoire sociale et culturelle des savoirs, de l’histoire de l’antiquariat et des études sur le patrimoine. Dans le cadre de ses fonctions de coordinatrice scientifique de la Fondation des sciences du patrimoine, elle s’intéresse également aux conditions et aux enjeux de la recherche sur les patrimoines matériels.
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Emmanuel Francis est chargé de recherche au CNRS et membre statutaire du Centre d'Études de l'Inde et de l'Asie du Sud - CEIAS. Ses recherches sur les inscriptions et manuscrits tamouls portent sur l’histoire sociale et culturelle de la langue tamoule. Il codirige deux projets de recherche : TST (ANR FRAL 2018, BnF, CEIAS, Hamburg Stabi & CSMC) et DHARMA (ERC Synergy Grant 2018, CEIAS, EFEO, Humboldt Universität & L’Orientale).
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Corinne Lefèvre est chargée de recherche au CNRS et membre du CEIAS (Centre d’Études de l’Inde et de l’Asie du Sud) : http://ceias.ehess.fr/index.php?723). Ses travaux portent sur l’histoire politique et culturelle de l’empire moghol aux xvie-xviiie siècles. Son ouvrage le plus récent est Pouvoir impérial et élites dans l’Inde moghole de Jahangir, 1605-1627 (Paris, Les Indes savantes, 2018).
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Raphaël Malangin est docteur en histoire, professeur de Lettres, d’Histoire et de Géographie. Il vit à Pondichéry depuis 2005 et travaille au Lycée français international de Pondichéry depuis 2007. Il a été missionné en 2005 par l’Indian National Trust for Art and Cultural Heritage, Pondicherry chapter. En 2017, il soutient une thèse intitulée « Renoncer à l’Inde. Comptoirs, agents et aventuriers aux Indes orientales à la fin du XVIIIe siècle » (Université de Nantes) sous la direction de Jacques Weber. Il a notamment publié « Pondicherry that was once French India » pour le grand public indien (Roli-books, 2015) et participé au projet éditorial « Les compagnies des Indes » (René Estienne, Gallimard, 2013), à celui de « L’Inde française et la Grande Guerre » (IFP, 2019). Auteur d’articles de recherche publiés par les Annales de la Révolution française, il a récemment contribué à l’exposition “Rajahs, Nawabs and Firangees, Treasure from the French archives” (New-Delhi, 2019). Il est actuellement chercheur associé au laboratoire TEMOS UMR 9016.
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Dr. Kanchana Mukhopadhyay a étudié le français et l'histoire. Chercheuse en histoire de la présence française au Bengale au XVIIIe siècle, elle a travaillé dans diverses archives en France, en Inde et en Angleterre. Auteur de "Chandernagore and its dependencies - The Unfulfilled dream of Dupleix-(1674-1731), Mukhopadhyay a reçu des bourses de la Maison des Sciences de l'Homme de Paris pour poursuivre ses recherches. Elle a également été membre de la Société internationale des études du 18ème sciècle. Deux fois présidente de l'Alliance française du Bengale et co-convenante de l'INTACH (Indian National Trust for Art & Cultural Heritage), elle a publié huit livres traduits et de nombreux articles. Contribuant régulièrement aux questions relatives au patrimoine international, elle a reçu la prestigieuse distinction de "Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres de la République française".
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Dhir Sarangi est professeur au Centre d’études françaises et francophone à l’Université Jawaharlal Nehru, New Delhi où il enseigne la littérature française et l’histoire de l’art. Ses centres d’intérêt incluent les etudes françaises et l’histoire culturelle franco-indienne. Depuis plus d’une dizaine d’années, il mène des recherches sur les collections de peintures indiennes à la Bibliothèque nationale de France (BnF). En 2006, il a été co-commissaire de l’exposition “Palais perdus de Delhi” qui avait mis en exergue la contribution des collectionneurs français tels que Jean-Baptiste Gentil sur l’art indien du 18e siècle. Il a écrit plusieurs articles sur les échanges interculturels. Il a fait des conférences sur le sujet à l’Université de Paris-Sorbonne, à l’Université de Victoria (Canada) ainsi qu’à l’Institut national d’histoire de l’art (INHA). Il a été chercheur invité à l’INHA en 2012 et 2019 et à la BnF en 2021.
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Ysé Tardan-Masquelier est docteure habilitée en histoire et anthropologie des religions, elle a enseigné à la Sorbonne et à l’INALCO ; elle donne à l’Institut Catholique de Paris des cours sur l’hindouisme et dirige le DU Cultures et spiritualités d’Asie. Directrice de projets à l’École Française de Yoga, elle coanime le Labo du corps, séminaire de recherche en partenariat entre le CNRS et l’EFY, et a créé l’Observatoire du yoga. Parmi ses ouvrages : Un milliard d'hindous. Histoire, croyances, mutations (Albin Michel, 2007), Ramana Maharshi, le libéré-vivant (Points, 2010), Les maîtres des Upanishads. La sagesse qui libère (Points, 2014). Elle a dirigé Yoga. L’Encyclopédie (Albin Michel, 2021).
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Patrick Tomatis est professeur de yoga et formateur d’enseignants, président de l’École Française de Yoga-EFY et du Syndicat National des Professeurs de Yoga. Il a écrit de nombreux articles pour la Revue Française de Yoga. Docteur en Sciences du Langage de l’Université Paris Nanterre, il coanime le Labo du corps, séminaire de recherche en partenariat entre le CNRS et l’EFY. Il est également instructeur OPQF-ISQ .
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Margherita Trento est post-doctorante Marie Skłodowska-Curie au CNRS et membre du Centre d'Études de l'Inde et de l'Asie du Sud - EIAS. Ses recherches portent sur l'histoire croisée des pratiques sociales, spirituelles et littéraires en pays tamoul à l'époque moderne.
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Lola Vaissaire est étudiante de deuxième cycle à l’École du Louvre, en parcours « Recherche en histoire de l’art appliquée aux collections ». Son mémoire porte sur le manuscrit Indien 744 de la Bibliothèque nationale de France.
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Jacques Weber est professeur émérite à l'Université de Nantes et membre du Centre d'étude de l'Inde et de l'Asie du Sud. Ses recherches portent sur la France en Inde et l’Inde en France, l’émigration indienne au XIXe siècle, les relations internationales en Asie du Sud, les empires français et britannique et la littérature coloniale.
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Ines G. Županov est chargée de recherche au CNRS à Paris et membre du Centre d'Études de l'Inde et de l'Asie du Sud – CEIAS (CNRS-EHESS). Elle est actuellement à New Delhi, associée au Center for Social Sciences and Humanites. Elle est une historienne sociale et culturelle des missions catholiques en Asie du Sud et a également travaillé sur d'autres sujets connexes tels que l'empire portugais. Sa dernière monographie co-écrite avec Â. B. Xavier est Catholic Orientalism ; Portuguese Empire, Indian Knowledge, 16th-18th centuries (Delhi : Oxford University Press, 2015). Elle a coédité dix ouvrages dont les plus récents sont : Trade and Finance in Global Missions (16th-18th centuries), avec H.Vu-Thanh (Leiden : Brill, 2020) ; Handbook of the Jesuits (New York : Oxford University Press 2019) ; The Rites Controversies in the Early Modern World, avec P.-A. Fabre (Leyde : Brill, 2018). |
Aditi Gupta est doctorante en études françaises àl’Université d’Oxford. Sa thèse mettra en lumière la vie et l'œuvre de Jean-Baptiste Gentil (1726-1799), un officier de la Compagnie française des Indes orientales qui a passé vingt-cinq ans dans différentes régions de l'Inde, où il a constitué sa collection de manuscrits, albums d'art, cartes et objets culturels du sous-continent. Ce projet est entièrement financé par le partenariat de formation doctorale AHRC Oxford-Open-Cambridge et le Clarendon Fund.
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Abha Singh est professeur retraité d'histoire médiévale de l'Inde à l'Indira Gandhi National Open University (IGNOU), New Delhi, Inde. Ses principaux domaines de recherche sont "Suba of Delhi under the Mughals, 1580-1719" et "Religion, identité et protestations sociales : Satnamis of Narnaul". Elle travaille actuellement sur une monographie basée sur les papiers Du Jardin.
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Ronan Moreau est maître de conférences en études indiennes et responsable de la bibliothèque d’études indiennes et centrasiatiques du Collège de France. Ses recherches portent pour une part sur la littérature sanskrite classique (Vedas, épopées, etc.), notamment à travers l’étude des représentations animales et de la nature. D’autre part, il travaille sur l’historiographie des études indiennes, et en particulier sur Sylvain Lévi et ses voyages en Asie.
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Claudine Le Blanc, professeure de littérature comparée à l’Université Sorbonne Nouvelle, est ancienne élève de l’École normale supérieure, Paris et agrégée de lettres modernes. Ses travaux portent sur les littératures de l’Inde classique et moderne et leur circulation, les traditions orales épiques et la notion de modernité littéraire. Elle a publié Une littérature en archipel. La tradition orale de La Bataille de Piriyapattana au Karnataka, Inde du sud (Champion, 2005), Histoire de la littérature de l'Inde moderne. Le roman, XIXe-XXe siècles (Ellipses, 2006) et Les livres de l’Inde. Une littérature étrangère en France au XIXe siècle (PSN, 2014).
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Charles Li obtenu un doctorat en sanskrit de l'Université de Cambridge, où il a réalisé une édition critique et une traduction du Dravyasamuddeśa de Bhartṛhari, un texte du Ve siècle sur la philosophie du langage, ainsi que du commentaire du Xe siècle de Helārāja. Il a été chercheur à l'Université de la Colombie-Britannique à Vancouver, au Canada, puis au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) à Paris, où il a travaillé sur le projet Texts Surrounding Texts en collaboration avec la Bibliothèque Nationale de France (BnF). Il est actuellement spécialiste en philologie computationnelle pour le projet Tamilex de l'Université de Hambourg.
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Guillaume Ducoeur |
Yasmine Rajapakse |
Jean-Michel Delire |
Juliette Denis-Migault |